dimanche 30 juin 2013

Beaucoup de feuilles mais un seul arbre...

Hello !

Oui je sais que ça fait mille ans que je n'ai pas écrit dans ce blog.

Et pourtant ça n'est pas faute d'en visiter et de laisser des tas de commentaires de ci de là.

Sauf que là je me dis que c'est dommage de laisser tomber un blog alors je relance un peu en faisant un article sur un film que j'ai vu récemment (samedi après-midi) ... j'ai nommé Epic.

Voilà un moment que je voulais aller le voir ça faisait dix ans qu'ils nous faisaient saliver avec des micros-bandes annonces où on voyait des petits guerriers tout vêtus de verts, chevauchant des colibris...

Autant dire que je n'avais qu'une envie aller le voir. Mon frère s'est gentiment proposé pour ce film pour m'accompagner.


Alors nous y voilà.

Ce que ça raconte est assez basique. D'ailleurs l'histoire en elle-même est tout à fait prévisible, mais ça n'est pas gênant dans mesure où c'est joli.
Que se passe-t-il donc ? 
Dans la forêt règne une reine (que j'ai trouvé assez... fausse visuellement...) qui permet à la vie de perdurer grâce à son immense pouvoir, elle est gentille, parle avec une voix douce et suave et fait des blagues à la noix de coco. Mais dans cette forêt il y a aussi un sale type moche avec la peau bleue, mi requin mi insecte mi triton... lui il veut de la pourriture partout parce qu'après tout le méchants veulent toujours la désolation et la laideur. 
Parallèlement à cette histoire un peu merveilleuse, se déroule une histoire réelle où une fille d'une vingtaine d'années va vivre chez son père à la suite de la mort de sa mère. Son père croit en l'existence des petits êtres et essaient de les épier par tous les moyens. Il passe pour un cinglé et vit reclus dans une maison en bordure du bois.

Bon alors là  la suite est téléphonée. La fille ne le croit pas, parce qu'elle le croit cinglée, mais évidemment elle va se retrouver à vivre et agir dans ce monde imaginaire en voulant sauver la micro-reine tuée par le vilain tout pas beau.

Le synopsis en lui-même ne casse pas trois pattes à un canard mais l'histoire est cohérente.
Papa et sa fifille qui est dubitative. 

Le héros du monde parallèle, qui même pourchassé par des corbeaux vindicatifs tombe élégamment sur des branches.

Le méchant moche et méchant.



 Donc finalement évidemment la fille et son père mènent leurs recherches de concerts et elle a des contacts constants avec le monde de Moon Haven (j'aime bien le nom) et notamment le petit jeune homme qui pour un héros a un nom en mousse : Todd. 

J'ai bien aimé parce que visuellement c'est magnifique. Il y a ce vert forêt et herbe d'été que j'adore tout bonnement. Et là j'en ai été rassasiée. Le design du monde des petits guerriers est très joli. Tout est pensé. J'adore cette idée qu'un monde parallèle vive dans une forêt même si on s'imagine bien qu'ils vont trop vite pour qu'on puisse les attraper. 

C'est joli.

L'héroïne se fait draguer par une limace.

Moi de toute manière j'aime bien. Je savais en allant le voir que j'aimerai bien donc... j'étais déjà conquise ! En plus l'héroïne est rousse! C'est donc parfait.

La chenille a un accent québécois.
Voilouche en espérant par ce biais relancer la fréquentation sur ce blog... Je vous dis, salut !


2 commentaires:

  1. Yo. j'avoue que j'avais complètement oublié ton blog. Et j'avais oublié que tes articles étaient canon et que ça me donne envie d'allé voir ce dessin animé même si je sais que c pas franchement ma tasse de ti te fait d bisous
    kronk

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  2. C'est clair qu ton blog est super https://www.lartera.com/

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May the stars shine your pass ;)